Lettres à La Garaye,
écrites par les élèves de Cm2 en 2007
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Chère Garaye,
j’aime ta cour ta beauté ta gentillesse et ta bonté. Tu n’ as pas de chance, tu restes sous la pluie quand il pleut, tu restes sous la neige quand il neige. Par contre quand il y a du soleil tu te réchauffes et quand il y a du vent tu te rafraîchis.
Axèle Lambré
Chère Garaye,
coucou, ça va ? Tu te rappelles tout le temps qu’on a passé ensemble ? Remarque, peut-être pas car sans vouloir te vexer, tu es un peu âgée. Bon, tu ne trouves pas que tu as vécu beaucoup d’évènements même si cela ne devait pas être toujours comique ici ! Tu vas me manquer quand je serai au collège.
Marie Tavet
Chère Garaye,
dans cette jolie Ecole de la Garaye, j’ai rencontré plein d' amis ; grâce à toi mon cœur bat. Dans la cour ma dent définitive a été cassée à cause de Jessy qui n’ avait pas fait exprès.
Tiphany
Chère Garaye,
combien as-tu vu (exactement) d’enfants ?
Maël
Chère Garaye,
devinez-vous votre importance pour nous ? Vous nous aidez pour servir la France plus tard. Vous êtes dans une jolie ville, dans une belle rue. Vous avez une belle vue sur la plus grande église de Dinan. Vos enfants turbulents vous font mal tout au long de la journée. Les bons élèves sont sages grâce à vous.
Théotime
Chère Garaye,
tu es ma préférée entre toutes. Ta forme est superbe. Tu es généreuse de bien vouloir nous accueillir et nous entendre crier dans ta cour.
Antoine Bouille
Chère Garaye,
tu as connu les 2 guerres mondiales, est-ce que tu t’en souviens ?
Clément Hamon
Chère Garaye,
est-ce que vous vous êtes senti vieillir entre ces murs de pierres ?
Manon Baudic.
Chère Garaye,
bientôt, je rentre au collège et tu vas me manquer. Cela fait cinq ans que je suis avec toi. Comme ma sœur reste avec toi je lui ferai passer des messages.
Marion
Chère Garaye,
je serai resté longtemps avec toi mais je regrette .Tu rencontreras quelqu'un d’autre que moi .Tu es devenue plus joyeuse. Tu as beaucoup changé depuis qu’on s’est rencontré.
Thomas Lemoine
Chère Garaye,
on a plein de photos de vous quand vous étiez bébé et aussi adulte.
Anthony Presse
Chère Garaye,
vous avez vieilli mais on vous reconnaît encore. Merci de m’avoir abritée.
Magaly Royer
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